voyance par mail : témoignages positifs et néfastes
Le lendemain l'après midi, j’ai obtenu un long ensemble d' informations en retour. Plus de deux pages où Olivier détaillait son tirage de tarot et ses observations astrologiques : il m’expliquait que la carte du Pendu symbolisait un moment de pause utile pour indexer mes impératifs et faire le tristesse, alors que la carte de la Lune parlait d’émotions cachées à découvrir, de l'utilité de ne pas refouler ma tristesse. Ensuite, il répondait à mes questions : « Pour guérir, consacre-toi à une activité qui te passionne cinq heures par quinzaine, sans escompter au passé ; tu as de grandes probabilités de recruter une personne d’ici 4 à cinq mois, spécialement durant sorties rattachées à tes loisirs créatifs ; pour créer une relation saine, travaille sur ton time period sensitive, utilise l’écriture libre pour te demandez sans filtre. » Chaque avis était au choix d’exemples avantageux : pratiques d’écriture, rituels de présentation, rituels de gré. J’ai immédiatement entendu une variété d’émotion et de réconfort : une personne comprenait effectivement ce que je traversais, avec des contenus posés et des pistes d’action claires.
lorsque la voyance par courrier électronique se montre un coup de tremplin pour mes études Pendant mes premières semaines de fac, j’ai vin que j’allais craquer. Passer du lycée à l’université, ceci n’a rien à voir : plus de repères, des amphis bondés, des examens écrits chronométrés, et pas toujours de cours clairs. Mes annotations ont commencé à choir, et je me suis mis à douter de mes capacités : j’envisageais même de tout lâcher pour retourner à un bts plus rassurante. Un soir de juillet, stressé devant mes classiques de sagesse, je discute avec un pote qui me traite de la par mail : « T’as une interrogation, tu envoies un mail, et tu reçois un contenu détaillé dans la journée ». Ça m’a semblé plus profond qu’un tarot via le téléphone ou un SMS de 3 contenus. Alors j’ai voyance olivier tenté : j’ai produit un mail à Olivier, éclairant ma galère : « Comment réussir à m’adapter aux études supérieures sans craquer ? » J’ai balancé mes craintes, mes phobies, même mes mauvaises pratiques ( je séchais certaines fois les TD pour fixer en ville ). Puis j’ai cliqué sur « envoyer » avec une diversité d’espoir et de négation.